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Burma Total RDV Paris Shareholders



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Burma had its day in the Total PetroFina shareholders meeting today,
and as he does year after year, CEO Thierry Desmarest shrugged off
criticism of the Yadana pipeline, blamed sanctions for setting back
evolution and development, denied money laundering complicity, rejected
embargos as cutting legitimate funds for businesses, and essentially
defended with flying colors to a crowd of raving shareholders
exuberant over the promise of profits and growth of their multinational.
Desmarest admitted with some regret compelled to do business in less
than ideal situations in an imperfect world. 

text in french

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jeudi 14 janvier, 16h06

Total défend sa présence en Birmanie, critique les embargos

PARIS, 14 janvier - Le P-DG de Total, Thierry Desmarest, a de nouveau
défendu jeudi la présence du groupe pétrolier français en Birmanie et a
critiqué les embargos économiques qu'il a jugés inefficaces.

Interpellé à plusieurs reprises lors d'une assemblée générale des
actionnaires sur les liens de son groupe avec le pouvoir militaire birman,
il a repoussé toutes les accusations de collusion: "Nous ne participons à
aucun blanchiment d'argent, de drogue ou de tout autre trafic illicite".

Il a reconnu que Total travaillait avec "un certain nombre de pays en
développement dont on peut considérer que les situations politiques et
sociales ne sont pas idéales".

Mais, a ajouté Thierry Desmarest, "je ne crois pas que ce soit en
instituant des embargos économiques sur ces pays qu'on fera évoluer les

situations. On les privera de recettes licites. On évitera toute évolution
du contexte économique et social. L'expérience a montré que les embargos,
même quand ils restent 20 ans, 30 ans ou 40 ans, ne font pas évoluer les
situations".

Il a affirmé que son groupe respectait toutes les règlementations
internationales en matière de restrictions d'investissements dans certains
Etats. "Quand il n'y a pas de telles restrictions, nous pensons que nous
pouvons travailler dans ces pays, nous pouvons travailler pour le bien de
nos actionnaires, nous pouvons travailler proprement et que au bout du
compte ce sera plus favorable à ces pays que s'il n'y avait pas
d'investissements", a-t-il souligné.

Il a par ailleurs minimisé les risques de boycottage aux Etats-Unis et en
Europe du Nord du fait du renforcement de la présence de Total à la suite
de la fusion avec Petrofina. /WEM

REUTERS

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